mardi 31 mai 2011

La littérature québecoise...un défi pour les immigrants...

Pendant mon premier cours de Français écrit, notre professeure nous a donné à écrire une suite à l'histoire fantastique «La chambre octogonale» de Michel Tremblay. Voilà ce que j'ai écrit:

 «Je ne me souviens pas si j’avais rêvé ou si c’était la réalité, mais après quelques minutes le bruit devint imperceptible et je me réveillai… Autour de moi, les choses étaient métamorphosées.
Mon ami n’était plus là…Je commençai à croire qu’il avait eu raison. Les bêtes dévoraient mon ami et elles dévoraient aussi tout dans la chambre octogonale. Les formes octogonales devinrent rondes…mais les bêtes étaient parties avant que je me réveille. J’avais peur. Le silence avait pris la place de ce bruit étrange…mais ce n’était pas un silence ordinaire.
Dans la chambre octogonale qui maintenant était presque ronde, je regardais en  haut parce que j’avais senti le vent. Il n’y avait ni plafond, ni toit. Je pouvais voir seulement le ciel. C’était un ciel noir sans étoiles, mais je ne croyais pas que c'était la nuit. Cependant pourquoi le ciel était-il tant noir? En le regardant plus attentivement j'aperçus de petits points noirs qui faisaient des mouvements très rapides avec un sort d’ailes inconnues pour moi. Leurs mouvements m'avaient donné l'impression que le vent soufflait.»